Les Caprices de Marianne

MERCREDI 29 MARS | 20h | Au Qu4tre de l’UA

Théâtre, comédie dramatique musicale | 1h40 | Tout public

Affiche Les caprices de Marianne

Par Alfred de Musset

Par la Compagnie Laertes (étudiant·es de l’UCO et de l’ASTA, UA]

Mise en scène : Maxime Taite

Création Lumière : Théo Edom

ARTISTES :

Lilian Adeline, Mathilde Bellencontre, Tom Leveque, Bryan Mbenja Ebanga, Simon Ménard, Camille Roumat

RÉSUMÉ GENERAL :

Coelio, jeune noble, est fou amoureux de sa voisine, la belle et prude Marianne. Cette dernière, par respect pour les dogmes religieux, est fidèle à son mari, Claudio le magistrat de la ville. Alors que Coelio tente désespérément de faire connaître son amour à Marianne, celle-ci refuse sans cesse les incessantes avances du jeune homme, au point d’épuiser toutes les cartes de ce dernier. Dans une dernière tentative sans espoir, Coelio envoie son ami Octave, libertin dépravé et plein d’esprit, louant les bienfaits des fêtes et des rapports sans attaches, convaincre Marianne de le prendre pour amant. Octave se met alors à l’œuvre, provoquant par la même occasion la jalousie de Claudio, qui cherchera par tous les moyens à faire cesser ces provocations. 

Dans un univers sombre et fragmenté, l’amour tente en vain de trouver le chemin vers la lumière. Explorant la dualité des esprits humains, la place du désir féminin dans une société majoritairement masculine, cette relecture musicale des Caprices de Marianne d’Alfred de Musset, et mise en scène par Maxime Taite se veut poétique et politique. Véritable expression du langage de la jeunesse, luttant contre la paresse des mentalités d’une hiérarchie qui ne la comprend plus, d’une pureté des sentiments qui se perd, ce spectacle aborde des réflexions qui sont chères à la compagnie, ainsi qu’on l’espère, à vos yeux et à vos cœurs. 

La troupe est une jeune compagnie naissante sur le territoire angevin, composée d’étudiant.e.s de 3ème année en Arts du Spectacle à l’Université Catholique de l’Ouest, ainsi que de l’ASTA (Académie Supérieure de Théâtre d’Anjou – Université d’Angers)